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Après avoir passé ces dernières années sur les routes canadiennes et européennes, MARK BERUBE and the Patriotic Few nous revient avec son album June in Siberia. Offrant une performance haute en émotion, Berube sait nous faire plonger dans son univers personnel et socialement engagé avec tact, intelligence et sensibilité.

Mark Berube est l’une des perles de l’underground anglo de Montréal. Le Devoir, Montréal
Mark Berube compte parmi les auteurs-compositeurs-interprètes les plus prometteurs que la scène montréalaise nous a donnés au cours des dernières années. Voir Montréal
Les quatre premières chansons du Canadien Mark Bérubé, ritournelles lumineuses qui semblent taillées pour la prochaine pub d’Apple, sont un ravissement inattendu. Voir Montréal
Depuis la sortie de What the Boat Gave the River en 2008, Mark et son groupe ont rarement quitté la route, acquérant au fil du temps de la reconnaissance bien méritée. Duke Eaton de CBC est allé jusqu’à comparer Mark à un jeune Leonard Cohen pour ses textes concis et son travail d’artiste. La magnifique chanson Flowers on the Stones a d’ailleurs été utilisée dans le film québecois Route 132, sorti à l’automne 2010

Son plus récent album, June in Siberia, lancé en mars 2011, enregistré par Howard Bilerman (Arcade Fire, Basia Bulat, Silver Mt Zion), à Montréal au mois d’août 2010, a vu le jour en 11 jours. Mark Berube and The Patriotic Few (Kristina Koropecki au violoncelle, Patrick Dugas à la batterie et Amélie Mandeville à la basse) part d’une expérimentation antérieure à laquelle s’ajoutent des arrangements grandioses de cordes et de cuivres, mettant en valeur les voix et le talent de chacun des musiciens.